Thérapies alternatives complémentaires et handicap

Ayurveda, sophrologie, art-thérapie, magnétisme, phytothérapie, hypnose, Reiki... Le succès des thérapies alternatives et des médecines douces ne cesse d’aller croissant. Elles répondent à un besoin des patients trop souvent négligé par la médecine moderne, celui d’être pris en compte comme une personne à part entière, une personne qui pense et qui ressent et pas uniquement comme « un composé organique à réparer ». Besoin d’autant plus prégnant lorsque l’on est en situation de lourd handicap ou que l’on souffre d’une maladie invalidante.
Alors, que peuvent apporter ces thérapies, peut-on leur accorder du crédit, doivent-elles venir en alternative ou en complémentarité à la médecine traditionnelle, quelle place cette dernière lui fait-elle ?
Handimarseille est allé rencontrer plusieurs thérapeutes aux pratiques diverses qui portent tous un intérêt particulier et généreux à l’humain dans sa globalité et œuvrent au quotidien pour apporter un mieux-être au patient sans pour autant promettre la guérison.
Souhaitons que ces thérapies complémentaires qui font une entrée timide et silencieuse dans les hôpitaux et autres institutions médico-sociales puissent acquérir une reconnaissance méritée.
Un dossier coordonné par Sarah Champion Schreiber
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