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icICOMme ailleurs, un accès à l’informatique

Avoir accès aux réseaux sociaux sur internet, voici en terme de communication une manière de lever la barrière du handicap. Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées par un matériel informatique adapté, voilà la mission d’ICOM Provence. Une souris dont on se sert avec le coude ou le pied, des contacteurs pour remplacer le clic, des fonctions de plus en plus tactiles, l’equipe d’ICOM cherche et trouve les solutions adaptées à chaque type de handicap et assure la formation des personnes à leur nouveau matériel. Directeur et psychologue, érgothérapeute et administratrice nous parlent de leur travail au quotidien.

Handimarseille - Pouvez-vous vous présenter ?

Julien Cloclet - Je suis Julien Cloclet le directeur de l’association Icom’Provence et je suis psychologue. J’ai pris la direction d’Icom’Provence en 2009 pour assurer les fonctions de directeur en plus de celle de psychologue, puisque depuis 2008 je suis amené à y conduire des ateliers mémoires pour des seniors, c’est à dire un public de personnes âgées. On utilise l’informatique pour travailler la mémoire et les fonctions cognitives.

Véronique Clément - Je m’appelle Véronique Clément, je suis dans la structure depuis sa création, c’est à dire pratiquement dix ans. Je suis la responsable administrative du centre Icom’Provence. Je m’occupe de tout ce qui est administratif, de la comptabilité et tout ce qui est social par rapport aux salariés.

Mélodie Suard - Je suis Mélodie Suard, ergothérapeute à Icom’Provence. J’interviens vingt et une heures par semaine. Je reçois dans mon bureau toute personne handicapée qui souhaite accéder à l’informatique, pour des bilans individuels. En fait, on détermine ensemble ce qui peut permettre l’accès à l’ordinateur, où se trouvent les difficultés et quelles solutions on peut y apporter, afin qu’elle puisse manipuler l’ordinateur, comme tout le monde.

H. - Pouvez-vous nous dire ce qu’est Icom’Provence ?

Julien Cloclet - Icom’Provence c’est une association qui va fêter ses dix ans cette année et qui s’est donné pour objectif dès l’origine d’utiliser l’informatique et maintenant plus largement, le multimédia et les outils de communication pour les personnes en situation de handicap, qui peuvent être de tout âge, des enfants jusqu’à des personnes plus âgées, des adultes. On s’est donné pour mission d’utiliser l’informatique pour aider ces personnes là , notamment pour améliorer leur quotidien et faciliter leur insertion sociale.

H - Comment est composée l’équipe ?

Véronique clément - Outre le directeur, l’ergothérapeute, et moi même. On a une animatrice qui assure les cours d’informatique. Enfin, on a aussi des bénévoles.

H. - Quels sont les différents services que vous proposez aux personnes handicapées ?

Julien Cloclet - Comme vous le voyez, dans cette pièce, on a deux salles informatiques, équipées d’une douzaine de postes. On propose un accès à l’outil informatique, qui passe par les formations que l’on prodigue aux personnes handicapées. "Comment utiliser un ordinateur ?" "Comment utiliser internet ?" "Quels sont les différents usages que l’on peut avoir d’un ordinateur ?" De plus en plus on se tourne vers des outils de communication et la vidéo pour aider des personnes à mobilité réduite. On a un projet expérimental où l’on utilise la vidéo pour réaliser de petits films. On s’adresse également aux enfants "dys" qui peuvent être dyslexiques [1], dyspraxiques [2], dysorthographiques [3].

Mélodie Suard - Je propose des bilans individuels pour des personnes adultes, pour des enfants et je donne également des cours à des enfants dyslexiques, dyspraxiques, le mercredi. Je rends des visites à domicile aux personnes qui sont lourdement handicapées et qui ne peuvent pas se déplacer à Icom’Provence. A ce moment là , je me déplace avec le matériel que je peux amener. Je fais aussi des formations auprès de professionnels, des animateurs multimédias, des enseignants référents ou non et des AVS, les personnes qui accompagnent les enfants à l’école.

H. - Quels sont les logiciels, les outils multimédias que vous mettez à disposition des personnes handicapées ?

Julien Cloclet - On a un panel de logiciels qui s’adressent principalement aux personnes malvoyantes. C’est Véronique qui s’occupe de faire des formations pour les personnes malvoyantes. On se tourne de plus en plus vers les logiciels libres parce qu’ils ne sont pas propriétaires et qui ont été développés de manière libre pour être utilisés le plus largement possible. D’ailleurs, on a organisé une journée à thème pour proposer un maximum de solutions libres aux personnes malvoyantes.

Véronique Clément - L’animateur va utiliser avec la personne, des aides techniques en fonction du handicap. Pour le handicap visuel, ce sera par exemple "Zoom Text", un logiciel pour grossir tout ce qui est à l’écran et "Jaws" pour avoir un retour vocal. Pour tout ce qui handicap moteur, on va avoir des aides techniques, un peu comme des joysticks et des souris adaptées. On peut avoir des claviers virtuels à l’écran. En somme, c’est toutes les aides que l’on a à Icom’Provence. On les met à disposition des personnes, pour que les personnes handicapées puissent l’utiliser avant de l’acheter, et qu’elles puissent se familiariser avec des outils qu’elles ont à la maison, ou qu’elle n’arrivent pas bien à utiliser.

H - Pouvez-vous nous dire ce qu’est le logiciel "Jaws" ?

Véronique Clément - "Jaws" c’est un logiciel pour les non-voyants. C’est une synthèse vocale qui va lire tout ce qui est à l’écran et ce que va faire la personne. En fait, c’est une aide comme un guide, mais vocal.

H. - Et "Zoom Text" ?

Véronique Clément - "Zoom Text" c’est pour des malvoyants. C’est un logiciel qui grossit ce qu’il y a à l’écran.

H. - Quels sont les derniers modèles que vous présentez aux personnes handicapées ?

Julien Cloclet - Au-delà de l’équipement logiciel, on a un équipement matériel. On vient de faire l’acquisition d’un certain nombre d’équipement de plus en plus tactiles en fonction des handicaps. Ce sont des contacteurs qui vont remplacer le clic de la souris pour les personnes qui ne peuvent pas cliquer. On peut les appliquer sur le coude ou n’importe quel autre membre qui peut fonctionner comme le pied par exemple et qui puisse simuler ou remplacer le clic de la souris. Il suffit simplement de les effleurer pour que cela remplace le clic de la souris. Par ailleurs, on a aussi fait l’acquisition de joysticks, c’est à dire des éléments qui vont aussi renforcer la souris et qui seront plus facilement manipulables pour les personnes qui n’arrivent pas à l’utiliser.

H. - Où y a t-il eu le plus d’avancées significatives au niveau du matériel ?

Mélodie Suard - C’est essentiellement sur tout ce qui est tactile. Ça, c’est en grand développement. Mais aussi tout ce qui contrôle de l’ordinateur avec les mouvements de la tête. Il en est de même pour mouvements oculaires, mais c’est un matériel qui coà »te très cher, donc ce n’est pas toujours facile de se le procurer. A Icom’Provence, nous avons une caméra pour faire bouger une souris à l’aide des mouvements de la tête. Mais pour les mouvements oculaires c’est impossible, parce que c’est beaucoup trop cher. Les grands progrès concernent les handicaps lourds, comme les tétraplégies ou les pathologies évolutives et qui touchent progressivement tout le corps, mais pas le petit matériel comme les joysticks ou les trekkers breezes. Ça on en a toujours vu, on en verra toujours, il n y a pas grand choses à apporter là -dessus !

H. - Comment se fait l’adaptation matérielle ?

Julien Cloclet - Notre ergothérapeute reçoit les personnes et dresse un bilan et leur préconise un certain nombre de matériels. Après, charge à ces personnes de faire un certain nombre de financement, auprès de la MDPH ou tout autre organisme, pour faire financer le matériel dont ils ont besoin. De plus, on peut être amené à prodiguer des formations et l’examen des nouveaux équipements dont les personnes ont besoin. Là , vous avez une personne qui a des troubles de la mémoire et qui vient toutes les semaines et qui va donc suivre des cours à sa charge. Mais cela reste des sommes modiques.

H. - Comment se passe l’initiation des personnes handicapées au multimédia ?

Véronique Clément - En gros, comme pour toutes les autres formations, il faut savoir que les personnes handicapées sont un peu privilégiées ici, parce que ce sont des formations individuelles, on leur accorde du temps et le coà »t n’est pas très élevé. Par conséquent, tous les facteurs sont réunis pour qu’elles puissent apprendre tranquillement. Mais comme pour n’importe quelle autre formation, tout dépend si le courant passe entre deux personnes. Du moment où l’on connaît la pathologie de la personne et que l’on peut lui demander, il n’ y a pas de problème.

Julien Cloclet - Généralement, ce sont des séances de deux heures où les publics viennent et sont accompagnés par l’animateur, soit de manière individuelle soit en petits groupes, pour utiliser l’outil informatique.

Mélodie Suard - Je ne m’occupe pas des personnes handicapées adultes. J’initie que les enfants. On leur apprend à utiliser l’ordinateur, afin qu’il voient comment cela fonctionne. En fait, le traitement de texte pour les enfants, et aussi tous les logiciels spécifiques qu’ils vont devoir utiliser à l’école.

H. - Comment réagissent les personnes face à leur nouveau matériel ?

Julien Cloclet - Il faut toujours un temps d’adaptation. Généralement c’est assez bien vécu, les personnes savent qu’elles vont pouvoir l’utiliser dans leur quotidien et que cela va leur changer pas mal de choses. Après, en fonction des personnes cela prend plus ou moins de temps. Mais vraiment en général ça se passe bien.

H. - Quel est le coà »t du matériel multimédia pour les personnes handicapées ?

Julien Cloclet - Je n’ai pas les tarifs en tête. Pour utiliser l’ordinateur, les personnes malvoyantes et non voyantes n’utilisent pas les mêmes logiciels. Par exemple, les personnes malvoyantes utilisent "Zoom Text", alors que les personnes non voyantes utilisent "Jaws" qui est plus onéreux.

H. - A quoi est dà » cette différence de prix ?

Julien Cloclet - Peut-être parce que les contraintes de fabrication diffèrent d’un logiciel à un autre. Cependant, de plus en plus de logiciels libres, sont gratuits. Icom’ a développé un clavier numérique qui va se trouver sur l’écran et remplacer le clavier physique. Nous l’avons mis à disposition de manière libre et gratuite sur notre site internet Icom’Provence.net. Les gens peuvent télécharger ce clavier virtuel et l’utiliser avec leurs ordinateurs.

H. - Faîtes-vous de la recherche en innovation ?

Julien Cloclet - Oui, on a un devoir d’exigence de veille pour être toujours à la pointe des équipements et de ce qui se fait. On est toujours à la recherche des derniers équipements dont on peut faire l’acquisition, et on a des partenariats avec des revendeurs pour qu’ils nous les mettent à disposition et que l’on puisse en faire profiter notre public.

H. - Pour quels types de handicap, les avancées sont les plus significatives ?

Mélodie Suard - Pour les gros handicaps tels que les tétraplégies, les scléroses en plaque, les scléroses latérales amorphiques. Tout ce qui touche la motricité et sur tout le corps.

H - Les nouvelles technologies multimédias ont-elles ouvert de nouveaux horizons aux personnes handicapées ?

Julien Cloclet - Oui, bien sà »r d’un point de vue social pour remplacer beaucoup de démarches qui prenaient énormément de temps. Désormais, on peut faire beaucoup de choses de manière dématérialisées en utilisant l’informatique. Le multimédia a deux grands points forts. En premier lieu, c’est la dématérialisation d’un certain nombres de procédures comme réserver son billet de train ou faire des achats en ligne. Deuxièmement, elle permet de communiquer sur des réseaux sociaux. De plus en plus de gens veulent se mettre sur les réseaux sociaux, pour faciliter les communications et faire en sorte que le handicap ne soit plus une barrière à ce niveau là .

H. - Est-ce que vous êtes amenés à suivre des formations ?

Mélodie Suard - Uniquement pour les non-voyants et les malvoyants, parce qu’on utilise des logiciels et des raccourcis claviers qui demandent une formation. Pour tout ce qui est clavier et souris on n’a pas besoin de formation, en cinq minutes, on comprend comment ça fonctionne, si c’est vraiment l’aide technique dont la personne handicapée a besoin, elle va vite le prendre en main et rapidement se l’approprier. Finalement, on se rend compte que cela va vite. Enfin, une fois qu’elle sait utiliser la souris et qu’elle s’est adapté, l’apprentissage de l’informatique commence.

H - Avec quels partenaires travaillez-vous ?

Julien Cloclet - Le Conseil régional est notre premier financeur. On a aussi le Conseil Général qui est un gros partenaire, l’Assurance Maladie, la CPAM. On a aussi travaillé avec pas mal d’ESAT, des Etablissements Privés d’Aides par le Travail. On travaille également avec des centres sociaux. Enfin, on est en lien avec l’APF, l’Association des Paralysés de France. On essaie d’avoir un partenariat avec l’antenne marseillaise et aussi avec un centre de ressource qui se trouve à Garches en région parisienne (la plateforme des nouvelles technologies à Garches), et qui fait un très gros travail autour des équipements de veille informatique des personnes handicapées.

H. - Au niveau privé, quels partenaires avez-vous ?

Julien Cloclet - On a beaucoup de revendeurs de matériels basés à Lyon, Montpellier, Nice avec qui on travaille et qui organisent des journées de présentation sur les différents matériels qu’ils mettent à disposition.

H - Quels sont vos projets ?

Julien Cloclet - Nos projets sont nombreux. Nos deux projets phares sont de la vidéo pour infirmes moteurs cérébraux, pour faire en sorte qu’ils puissent être quasiment autonomes dans la réalisation de films. Le second projet, c’est la virtualisation de notre centre de ressource. On essaie de créer en ligne un centre complètement virtuel, dans lequel les gens pourront "se balader" et avoir accès aux ressources dont nous disposons ou prendre rendez-vous avec l’ergothérapeute, et simplifier un certain nombre de procédures comme cela en utilisant internet.

H.- Avez-vous des anecdotes à raconter ?

Véronique Clément - Non, c’est plutôt des situations cocasses ! Un monsieur nous faisait tout au pied. Il utilisait la souris, avec les pieds. C’est vrai qu’au début cela était un peu étrange, et finalement c’était assez sympa, et ça s’est très bien passé. Je trouve que les personnes handicapées sont avides de savoir quand vous leur transmettez quelque chose, et qu’elles sont toujours très agréables, contrairement à d’autres publics où c’est quand même plus difficile.

H. - Je vous remercie.

Notes

[1La dyslexie est un trouble d"™apprentissage spécifique qui est causé par un désordre neurologique. Elle se caractérise par des difficultés au chapitre de la reconnaissance de mots (exactitude et / ou fluidité), des difficultés orthographiques et de décodage

[2La dyspraxie est une altération de la capacité à exécuter de manière automatique des mouvements déterminés, en l’absence de toute paralysie ou parésie des muscles impliqués dans le mouvement. Le sujet doit contrôler volontairement chacun de ses gestes, ce qui est très coà »teux en attention, et rend la coordination des mouvements complexes de la vie courante extrêmement difficile, donc rarement obtenue

[3La dysorthographie est un trouble d’apprentissage caractérisé par un défaut d’assimilation important et durable des règles orthographiques


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